Le télégramme 15 septembre 2007Mille pattes de Nizon :
Les marcheurs de l’association Les Mille pattes, de Nizon, étaient nombreux, mardi, à se retrouver place de l’Église. En effet, après avoir effectué des randonnées nocturnes, ils étaient une soixantaine, dont trois nouveaux, pour la reprise des marches du début d’après-midi. Une randonnée qui s’est effectuée sur le circuit des chapelles, à Melgven. Mardi prochain, les responsables ont prévu d’effectuer les circuits, autour de Pont-Aven, qui seront mis en place pour les fêtes patronales le 30 septembre.
Les projets Des projets, les Mille pattes n’en manquent pas. Tout d’abord, les fêtes patronales de Nizon avec trois circuits découvertes autour de Pont-Aven - Nizon de 8, 12 et 18 km. Inscriptions dès 7 h 30 à la longère de Nizon. Départ à 8 h, les circuits sont fléchées. Ravitaillement à mi-parcours avec casse-croûte et pot à l’arrivée. 5 € par participant. Ouvert à tous. Dix clubs de marches du secteur ont été invités. Premier départ à 10 h. Sont aussi programmées une soirée diapositives du voyage en Belgique pour les adhérents le 16 octobre en salle Julia et une journée à Océanopolis en décembre. Mille pattes de Nizon, randonnées pédestres tous les mardis après-midi à 14 h, au départ du bourg de Nizon, ainsi que le dimanche matin à 9 h 30.
Les projets Des projets, les Mille pattes n’en manquent pas. Tout d’abord, les fêtes patronales de Nizon avec trois circuits découvertes autour de Pont-Aven - Nizon de 8, 12 et 18 km. Inscriptions dès 7 h 30 à la longère de Nizon. Départ à 8 h, les circuits sont fléchées. Ravitaillement à mi-parcours avec casse-croûte et pot à l’arrivée. 5 € par participant. Ouvert à tous. Dix clubs de marches du secteur ont été invités. Premier départ à 10 h. Sont aussi programmées une soirée diapositives du voyage en Belgique pour les adhérents le 16 octobre en salle Julia et une journée à Océanopolis en décembre. Mille pattes de Nizon, randonnées pédestres tous les mardis après-midi à 14 h, au départ du bourg de Nizon, ainsi que le dimanche matin à 9 h 30.
le télégramme 15 septembre 2007 (huelgoat)
Roc’h des monts d’Arrée : la commune en effervescence 
Les Roc’h des monts d’Arrée, ce ne sont pas seulement près de 6.000 paires de mollets qui marchent ou pédalent sur les sentiers et les crêtes des monts d’Arrée au long des dix circuits proposés. C’est aussi, en tant que plus important rassemblement du genre dans le grand Ouest, une opération qui doit être longuement préparée en amont.
De la reconnaissance à la remise en état des parcours, jusqu’au nettoyage final du site, il faut une machine bien huilée pour accueillir et donner du plaisir à tous les participants, souvent venus de loin. Autant dire que les bénévoles ne sont pas seuls à la manœuvre. Coup de projecteur irremplaçable dans la commune du Huelgoat et les atouts touristiques de sa situation, l’approche des Roc’h est aussi un moment d’effervescence pour les acteurs économiques locaux.
Un afflux de visiteurs À commencer par l’office de tourisme qui doit, en cette sortie de saison estivale, gérer les flux de visiteurs d’un week-end en demande d’hébergements. Car le participant ne vient souvent pas seul aux Rochs, et même si toute la famille n’est pas fan de randonnée cycliste, la fête peut être partagée par tous. Les commerces locaux aussi doivent, bien entendu, tenir compte de cet afflux de bouches à nourrir. À titre d’exemple et pour donner l’échelle de l’ampleur en 2006, lors de la neuvième édition, ce ne sont pas moins de 2.200 baguettes et 3.000 viennoiseries chaudes qui ont été consommées, sans compter 300 kg de charcuterie, 4.800 crêpes ou 700 kg de bananes. Car onze points de ravitaillement au long des circuits, ça ne s’improvise pas, ni côté bénévoles, ni côté fournitures. Chaque année aussi, les Rochs sont un grand moment pour les associations des parents d’élèves de l’école et du collège de Huelgoat, qui organisent la soirée festive du samedi. L’an dernier, 500 repas avaient ainsi été servis : un sacré coup de pouce aux finances des APE pour les projets scolaires.
« VTT plaisir » Occasion aussi, pour les habitants des environs de découvrir de nombreuses disciplines spectaculaires pendant ces deux jours de fête du « VTT plaisir », puisque des démonstrations de trial TT ou de dirt sont proposées au stade Corentin-Tymen. Une belle opportunité en somme pour la région et une effervescence bien agréable à l’orée de l’automne qui se met en place pour la dixième fois ce week-end.
Les Roc’h des monts d’Arrée, ce ne sont pas seulement près de 6.000 paires de mollets qui marchent ou pédalent sur les sentiers et les crêtes des monts d’Arrée au long des dix circuits proposés. C’est aussi, en tant que plus important rassemblement du genre dans le grand Ouest, une opération qui doit être longuement préparée en amont.
De la reconnaissance à la remise en état des parcours, jusqu’au nettoyage final du site, il faut une machine bien huilée pour accueillir et donner du plaisir à tous les participants, souvent venus de loin. Autant dire que les bénévoles ne sont pas seuls à la manœuvre. Coup de projecteur irremplaçable dans la commune du Huelgoat et les atouts touristiques de sa situation, l’approche des Roc’h est aussi un moment d’effervescence pour les acteurs économiques locaux.
Un afflux de visiteurs À commencer par l’office de tourisme qui doit, en cette sortie de saison estivale, gérer les flux de visiteurs d’un week-end en demande d’hébergements. Car le participant ne vient souvent pas seul aux Rochs, et même si toute la famille n’est pas fan de randonnée cycliste, la fête peut être partagée par tous. Les commerces locaux aussi doivent, bien entendu, tenir compte de cet afflux de bouches à nourrir. À titre d’exemple et pour donner l’échelle de l’ampleur en 2006, lors de la neuvième édition, ce ne sont pas moins de 2.200 baguettes et 3.000 viennoiseries chaudes qui ont été consommées, sans compter 300 kg de charcuterie, 4.800 crêpes ou 700 kg de bananes. Car onze points de ravitaillement au long des circuits, ça ne s’improvise pas, ni côté bénévoles, ni côté fournitures. Chaque année aussi, les Rochs sont un grand moment pour les associations des parents d’élèves de l’école et du collège de Huelgoat, qui organisent la soirée festive du samedi. L’an dernier, 500 repas avaient ainsi été servis : un sacré coup de pouce aux finances des APE pour les projets scolaires.
« VTT plaisir » Occasion aussi, pour les habitants des environs de découvrir de nombreuses disciplines spectaculaires pendant ces deux jours de fête du « VTT plaisir », puisque des démonstrations de trial TT ou de dirt sont proposées au stade Corentin-Tymen. Une belle opportunité en somme pour la région et une effervescence bien agréable à l’orée de l’automne qui se met en place pour la dixième fois ce week-end.
le telegramme 17 septembre 2007 (huelgoat)
Les chevilles ouvrières des Roc’h dans la course 
Cette fois, ils se sont fait plaisir, Olivier Le Fur, Yves L’Haridon et son neveu Glenn, chevilles ouvrières locales des Roc’h ont endossé les dossards 1, 2 et 3 pour prendre part hier aux raids.
La majorité des 5.438 vététistes, sur les 5.978 participants, les 540 autres étant des marcheurs, a opté pour les grands raids, est partie dans la fraîcheur matinale à l’assaut des crêtes. Les premiers inscrits aux 60 km sont arrivés au Roch Trévézel vers 9 h 40. Dispos et de bonne humeur, ils ne semblaient pas avoir peiné outre mesure, prenant le temps d’échanger quelques propos avec le signaleur chargé de leur sécurité. Car les Roc’h, c’est aussi cet esprit convivial et décontracté en dépit des efforts fournis.
Une bonne organisation Les 70, 80 et 100 km étaient aussi attendus sur la ligne des crêtes. En bruit de fond, dans les landes, les sons d’une rave partie cachée au regard mais audible. Le long serpent humain montant vers le mont Saint-Michel à grands renforts de pédales a attiré beaucoup de curieux venus encourager les sportifs. De même, sur le pas de leur porte, les habitants des villages traversés les ont regardés passer. C’est le nombre qui est saisissant et le fait que tout se déroule sereinement, une organisation parfaitement huilée. Personne n’a envie que ce phénomène s’arrête. Peut-être que l’essoufflement de Gilbert Hascoët et de toute l’équipe qui portent le projet à bout de bras depuis dix ans est normal, d’autant qu’ils organisent une trentaine de manifestations autour du vélo dans l’année. Il faudrait penser alors à une autre structure. Tout est possible, y réfléchir en vaut certes la peine. En attendant, les 450 bénévoles ont envie de s’offrir l’année prochaine leurs « roc’h » à eux, un spécial bénévoles.
Cette fois, ils se sont fait plaisir, Olivier Le Fur, Yves L’Haridon et son neveu Glenn, chevilles ouvrières locales des Roc’h ont endossé les dossards 1, 2 et 3 pour prendre part hier aux raids.
La majorité des 5.438 vététistes, sur les 5.978 participants, les 540 autres étant des marcheurs, a opté pour les grands raids, est partie dans la fraîcheur matinale à l’assaut des crêtes. Les premiers inscrits aux 60 km sont arrivés au Roch Trévézel vers 9 h 40. Dispos et de bonne humeur, ils ne semblaient pas avoir peiné outre mesure, prenant le temps d’échanger quelques propos avec le signaleur chargé de leur sécurité. Car les Roc’h, c’est aussi cet esprit convivial et décontracté en dépit des efforts fournis.
Une bonne organisation Les 70, 80 et 100 km étaient aussi attendus sur la ligne des crêtes. En bruit de fond, dans les landes, les sons d’une rave partie cachée au regard mais audible. Le long serpent humain montant vers le mont Saint-Michel à grands renforts de pédales a attiré beaucoup de curieux venus encourager les sportifs. De même, sur le pas de leur porte, les habitants des villages traversés les ont regardés passer. C’est le nombre qui est saisissant et le fait que tout se déroule sereinement, une organisation parfaitement huilée. Personne n’a envie que ce phénomène s’arrête. Peut-être que l’essoufflement de Gilbert Hascoët et de toute l’équipe qui portent le projet à bout de bras depuis dix ans est normal, d’autant qu’ils organisent une trentaine de manifestations autour du vélo dans l’année. Il faudrait penser alors à une autre structure. Tout est possible, y réfléchir en vaut certes la peine. En attendant, les 450 bénévoles ont envie de s’offrir l’année prochaine leurs « roc’h » à eux, un spécial bénévoles.
