8 mai 2012

REVUE DE PRESSE

1.600 kilomètres à pied. Deux Melgvinois à Compostelle

2 mai 2012

Ce n'est pas la re1688476_12041467-agejoucompostell-20120502-s114dligion qui a guidé leurs pas, mais le plaisir de la marche et le goût de la découverte de chemins mythiques. Christian et José, deux Melgvinois, ont parcouru les chemins de Compostelle.

Ils ne sont pas partis en même temps, mais se sont finalement retrouvés pour achever le parcours jusqu'à Saint-Jacques de Compostelle, dont ils sont rentrés mardi dernier. Les deux Melgvinois auront accompli, pour y parvenir, environ 1.600km en quelque 55 ou 56 étapes, depuis le Massif Central jusqu'à la pointe de Galice. Un parcours étalé sur trois années pour l'un, quatre pour l'autre. «Tout s'est décidé en 2006, lors de mon départ à la retraite. À la cafétéria de l'usine, le sujet est venu dans la discussion. L'idée a fait son chemin. Et finalement je suis parti avec trois amis de Riec-sur-Bélon». José Plouzennec, 62ans, aura effectué le trajet en quatre années: 2008, 2009, 2010 et 2012. «Il y en a qui le font d'une seule traite, sur huit semaines, mais c'est long». Christian Carnot, lui, y est allé en trois fois: 2010, 2011 et 2012, en compagnie d'un copain moëlanais.
Randonneurs avant tout
«À la retraite à 55 ans, j'ai trouvé dans la marche une activité plaisante». S'ils se définissent comme «randonneurs plus que pèlerins», tous deux se sont testés sur le Tro Breizh avant de se lancer dans cette expédition. «Contrairement au Tro Breizh, sur les chemins de Compostelle, il y a d'ailleurs plus de randonneurs que de véritables pèlerins. On en rencontre de toutes nationalités. Cette année, il y avait beaucoup d'Asiatiques, mais on a rencontré aussi des Belges, des Hollandais, des Canadiens, un Argentin, un Indien». Et quelques spécimens, comme cet homme qui se rendait à pied d'Espagne jusqu'à Rome!
Nombreuses rencontres
«En fait, les chemins de Compostelle constituent un supportintéressant, avec des parcours balisés, des hébergements situés au bord du chemin, à des prix abordables». Car l'expédition a un coût: «environ 30 EUR à 40 EUR par jour», auquel il faut ajouter le transport jusqu'au point de départ puis pour le retour. De cette aventure qu'ils avaient vécue séparément jusqu'à cette année, les deux hommes gardent une foule d'excellents souvenirs. Tous deux sont partis du Puy-en-Velay (43). «Et jusqu'à Figeac, c'est l'une des plus belles parties du parcours. On traverse l'Aubrac, une région très sauvage, où quand tu vois un bistrot, il ne faut pas hésiter à t'arrêter, car c'est peut-être le seul que tu verras dans la journée», sourit José Plouzennec. La traversée des Pyrénées, depuis Saint-Jean-Pied-de-Port (64), par le col de Ronceveau, est également magnifique.
Sous la pluie et la neige
Quant à la Galice, «c'est joli, c'est très vert, ça ressemble un peu à la Bretagne». La dernière partie du parcours, cette année, devait aussi leur offrir de splendides paysages de montagne. «Mais notre ennemi a été la météo. Dans les passages réputés les plus beaux, nous n'avons vu que le bout de nos chaussures parce que nous progressions la tête baissée, confrontés à un fort vent de face, sous la pluie et la neige, dans le brouillard, par ?5º». Parti de Pampelune le 28mars, Christian Carnot allait retrouver José Plouzennec après Burgos, d'où ce dernier était parti le 6avril. «Nous n'avons pas marché ensemble, mais nous nous retrouvions le soir, aux étapes». Dans ces «albergues» (auberges) où l'on fait tamponner son carnet de route et où les dortoirs rappelaient ceux de la pension ou du service militaire et où la première préoccupation était de laver chaussettes et sous-vêtements et de les sécher, ainsi que les chaussures, pour le lendemain.
Voir le Botafumeiro
Un dernier coup de collier pour la montée finale. «On tenait absolument à arriver pour la messe». Non pas qu'ils soient pratiquants, mais «pour voir l'encensoir de la cathédrale se balancer». Le Botafumeiro est un énorme encensoir de métal argenté, d'environ 1,5m de haut et de 72kg, mis en mouvement par une équipe de huit hommes qui le font se balancer jusqu'à l'horizontale à 2m du sol. Une dernière image mémorable de ce périple qui ne l'était pas moins.

Riec-sur-Bélon

Riec Tonic. Six marcheurs à St-Jacques-de-Compostelle

5 mai 2012 - 1692299_12058202-riectonic2-20120505-s121b

Six marcheurs de Riec Tonic, partis du Puy-en-Velay pour un périple de 1.700km, ont terminé leur merveilleuse aventure dans des conditions atmosphériques désastreuses. Ils ont franchi des cols à 1.500m d'altitude sous la pluie et la neige, soit 750km dans les jambes de Christian Carno et Jean-Yves Gourlet et 520 pour Luciane Dervout, Josette Quentel, José Plouzennec et Jean-Yves Tréguier. Ce périple, mené à travers le Pays Basque espagnol et la Galice, restera inoubliable pour les pèlerins riécois. Le chemin les a aussi conduits jusqu'à la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle et son célèbre ostentatoire. De nouveaux projets sont déjà en vue pour 2013.
Les prochains rendez-vous
La balade hebdomadaire du mardi 8mai est reportée au mercredi. La sortie programmée au Cap Fréhel est annulée. Elle est remplacée par un séjour sur la Côte de Granit rose, du 27 au 30août (hébergement à Lannion). Il reste quelques places ouvertes aux cyclos et marcheurs. À noter aussi le déplacement à la journée, le 15mai, chez les collègues d'Inzinzac (départ à9h).

Riec tonic sur le chemin de Compostelle - Riec-sur-Bélon

jeudi 03 mai 2012
Six marcheurs de Riec tonic ont parcouru entre 520 km et 750 km, sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.

La section marche Riec tonic était sur le sentier de Compostelle avec, cette année, pas moins de six marcheurs partis du Puy-en-Velay pour un périple de 1 700 km qu'ils ont finis cette fois, « dans des conditions atmosphériques désastreuses avec pluie et neige ».

Avec le franchissement de cols à 1 500 m d'altitude, Christian Carno et Yves Gourlet ont parcouru au total 750 km. Josette Quentel, Luciane Dervout, José Pouzenec et Jean-Yves Tréguier ont, eux, marché 520 km et achevé leur périple avec la visite de la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Rosporden

Marches estivales. C'est la reprise1693020_12065931-rospmarche-20120506-s117a

 

 

 

 

 

 

 

 

 

6 mai 2012 -

Une petite dizaine de marcheurs étaient présents au rendez-vous fixé par Jérôme Bourbigot, pour la reprise des marches estivales du mercredi soir. Des habitués des années passées étaient présents, mais aussi des nouveaux adeptes, telle Catherine de Bannalec, qui a trouvé une occasion de faire de la marche en découvrant la région rospordinoise.
Huit km au maximum
Au programme de la soirée, deux heures de balade aux alentours de la cité, soit environ 8km effectués à allure modérée. «Le but de ces marches du mercredi est d'offrir aux personnes qui le désirent, une petite balade en rando-promenade, avec un maximum de 8km, et un retour avant la nuit. Au fur à mesure que les jours allongeront, nos circuits s'éloigneront du centre-ville pour découvrir à chaque fois un nouveau paysage», expliquait le responsable. Mercredi, le parcours rejoignait Saint-Eloi, Coat Canton et Kérantré pour regagner la place Jean-Moulin par les étangs. Les marches estivales auront lieu tous les mercredis, départ de la place à 20h précises.

VTT. 400 coureurs au rendez-vous de la grande rando

7 mai 2012 -1693963_12069222-dudalvtt2-20120507-c135d

Hier, le club VTT organisait sa grande randonnée. 400sportifs motivés y ont participé, à la vive satisfaction des bénévoles qui l'avaient préparée. La pluie des jours derniers avait bien détrempé les sentiers et les glissades ont accompagné les parcours. Qu'à cela ne tienne! Petites et grandes boucles, suivant les appétits de chacun, ont mené les amateurs du coup de pédale depuis les sentiers de la commune dans les confins de Briec, aux abords de Gulvain pour remonter ensuite vers Boc'hoù Bras, où les attendait un point de ravitaillement bienvenu. Puis, le circuit descendait dans la magnifique vallée arborée, Longer Meilh Kergus, et grimpait à pic vers Trégourez. Il fallait de bons jarrets pour en venir à bout.