19 sept. 2013

REVUE DE PRESSE

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CRCE. Quarante ans mais toujours vert

17 septembre 2013 -

C'était jour de fête samedi, pour les adhérents du club des Cyclos randonneurs de la cité des Étangs (CRCE), qui célébraient le quarantième anniversaire du club. Avec plus de 200 membres à ce jour, le club est en pleine croissance. Qui l'eût cru ? Car tout n'était pas gagné au départ. « Une histoire riche en rebondissements » comme le rappelle Joseph Géhannin, l'actuel président du club.
Une bande de potes
Le CRCE doit son existence à la volonté d'une dizaine de copains, amateurs de vélo, qui aimaient se retrouver pour rouler ensemble le dimanche matin. Raymond Guillamet, le premierprésident et Henri Guillou faisaient partie de ceux-là.Un jour, en 1973, ils proposèrent de créer un club, donnant ainsi naissance aux cyclorandonneurs de Cornouaille rospordinois, une annexe de leurs homologues de Cornouaille Quimper. Dès lors, la machine était en marche et l'organisation des sorties du dimanche matin allait se formaliser.Avec un seul groupe à l'origine, les possibilités se sont étoffées par la création de deux, puis trois, pour enfin arriver aujourd'hui à quatre équipes dans lesquels les participants s'inscrivent en fonction de leur forme ou de leurs attentes.
La marche, une idée donnée par le verglas
Au fil des années, les présidents se sont succédé à la tête du club. Ils ont apporté tour à tour une évolution des activités proposées. Henri Guillou tout d'abord, qui un jour d'impossibilité de rouler pour cause de verglas, lança sans le savoir la section marche, une section qui aujourd'hui est forte de plus d'une centaine d'adhérents.Gilles Fouler, au milieu des années 80, créa une école cyclo, puis Didier Le Dez, Albert Nicolas, Jérôme Bourbigot et Joseph Géhannin ensuite, permettront à leur tour au club d'évoluer pour atteindre sa forme actuelle, comprenant aussi une section VTT.« Prendre une licence au CRCE est l'assurance de pouvoir faire du sport et de partager la convivialité, la solidarité et l'amitié, en luttant contre la passivité et l'isolement », déclarait le président pour clôturer son allocution, avant de partager un pot de l'amitié avec les nombreux convives présents.