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LE MOULIN DE KERCOUSQUET A CLOHARS CARNOET |
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saison sont pourtant là. Nous arrivons au bord de la côte et nous marchons vers « Le Pouldu », le vent et la mer se confondent, les nuages dans le ciel forment des arabesques grises et sur la mer les vagues toutes grises avec leurs têtes blanches d’écumes se fracassent sur les jetées et sur les rochers de la côte. Le vent a choisi de nous faire face, il n’est pas très chaud. Nous avançons tout de même vers notre destination, il ne pleut pas depuis le départ mais tous nous sommes bien emmitouflés dans nos chauds habits d’hiver.
A la « roche percée », profitant du relief protégé, nous prenons une pause. Ensuite nous repartons, la progression n’est pas trop difficile mais ce vent nous force à nous arc-bouter par moment. Au Pouldu, c’est la pause de midi salvatrice dans un abri près de la plage. Le vent soulève le sable et nous avons peine à ce que notre pitance ne soit farcie de grains de sable. Ensuite, après un café chaud, nous repartons vers la remontée de « la Laïta ». Là-bas, vers « l’ile de Groix » le soleil perce les nuages laissant présager un peu
de soleil pour la fin de la balade. Nous entamons la remontée de « la Laïta » et le soleil apparaît. Dès qu’il perce les nuages, la
nature se transforme, le vert des jeunes pousses devient tendre et superbe à regarder.
Le jaune, le blanc, le rouge, le rose des jeunes fleurs devient éclatant. Le vent lui aussi s’apaise et tout le monde sent les bienfaits de l’astre du jour. La lumière déjà fait du bien. C’est sûr maintenant, nous aurons échappé à la pluie. Un dernier regard au moulin de « kercousquet » et nous voilà à la fin de notre balade sous un soleil retrouvé. voilà, nous avons fait une balade de 24 km sans la pluie
Ce
matin, le ciel est comme souvent cette année, il s’est habillé de gris. Le vent
son compagnon le suit comme son ombre, la lumière nous manque et le printemps
avec ses fleurs et son ciel clair ne sont pas encore là. Ce jour, le ciel ne
fait pas exception, il est là au-dessus de nous avec ses nuages qui défilent à
la vitesse du vent en lâchant des tonnes d’eau sur des paysages qui ne pense
qu’a verdir et des fleurs qui ne demandent qu’a s’ouvrir avec le soleil .
Nous serons encore les témoins d’une journée morose sans doute, mais ce matin nous sommes décidés
tout de même à partir. En arrivant à Clohars Carnoët, il est encore tôt et nous
prenons des chemins vers Doëlan. Ils sont secs et pourtant les arbres tout au long
du chemin dansent avec le vent. Ils n’ont pas encore leurs parures vertes tendres mais
on devine de fines dentelles vertes toutes neuves sur toutes les branches des
arbres et des buissons. Sur les talus, des fleurs de saison sont pourtant là. Nous arrivons au bord de la côte et nous marchons vers « Le Pouldu », le vent et la mer se confondent, les nuages dans le ciel forment des arabesques grises et sur la mer les vagues toutes grises avec leurs têtes blanches d’écumes se fracassent sur les jetées et sur les rochers de la côte. Le vent a choisi de nous faire face, il n’est pas très chaud. Nous avançons tout de même vers notre destination, il ne pleut pas depuis le départ mais tous nous sommes bien emmitouflés dans nos chauds habits d’hiver.
A la « roche percée », profitant du relief protégé, nous prenons une pause. Ensuite nous repartons, la progression n’est pas trop difficile mais ce vent nous force à nous arc-bouter par moment. Au Pouldu, c’est la pause de midi salvatrice dans un abri près de la plage. Le vent soulève le sable et nous avons peine à ce que notre pitance ne soit farcie de grains de sable. Ensuite, après un café chaud, nous repartons vers la remontée de « la Laïta ». Là-bas, vers « l’ile de Groix » le soleil perce les nuages laissant présager un peu
de soleil pour la fin de la balade. Nous entamons la remontée de « la Laïta » et le soleil apparaît. Dès qu’il perce les nuages, la
nature se transforme, le vert des jeunes pousses devient tendre et superbe à regarder.
Le jaune, le blanc, le rouge, le rose des jeunes fleurs devient éclatant. Le vent lui aussi s’apaise et tout le monde sent les bienfaits de l’astre du jour. La lumière déjà fait du bien. C’est sûr maintenant, nous aurons échappé à la pluie. Un dernier regard au moulin de « kercousquet » et nous voilà à la fin de notre balade sous un soleil retrouvé. voilà, nous avons fait une balade de 24 km sans la pluie